Le rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) montre l’impact nocif de notre alimentation sur le climat.
Cet état des lieux n’est guère rassurant, puisqu’il tire la sonnette d’alarme sur notre manière de produire, de consommer et de jeter nos aliments. Si le GIEC ne fait aucune recommandation, il « évalue les implications de différentes options », rappelle Nathalie de Noblet-Ducoudré, coprésidente du groupe 1 de la communauté d’experts.
Quelles solutions ?
L’une des options envisagées est de réduire la production – et donc notre consommation – de viande, ce qui permettrait de limiter notre empreinte carbone en matière d’alimentation. Pour le GIEC, « la production [de viande rouge, NDRL] a un impact disproportionné sur le total des émissions de gaz à effet de serre ». Une chose est sûre, si la viande – rouge notamment – doit être mangée avec modération, il faut, au contraire, augmenter notre consommation de produits bruts bio, de saison et de production locale. Car, rappelons-le, les sols constituent notre principale source d’alimentation, et plus on les épuise, moins ils produisent.
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Source : Bonne santé mutualiste